L'entrée en vigueur de « l'authentification forte » en mai 2021 a permis de faire diminuer le taux de fraude sur les paiements en ligne (source Banque de France).
Au 1er semestre 2021, seulement 0,149% de ces transactions s'accompagnait d'une fraude, en baisse de plus de 14% par rapport à la moyenne de l'année 2020, conséquence du fait que 97% des porteurs de carte actifs bénéficient désormais d'un système d'authentification forte pour sécuriser les transactions à distance.
Cette nouvelle norme découlant de la directive européenne des services de paiement (DSP2) oblige les banques à valider une transaction avec 2 facteurs de nature distincte, au lieu d'un seul.
Les banques doivent fournir une alternative à l'application mobile pour les particuliers non équipés de smartphone, sans surcoût.
Malgré cela les fraudes persistent car certains paiements ne sont toujours pas soumis à la double authentification. Pour ceux là, la fraude est presque 2 fois plus importante.
Les cyber-délinquants se renseignent sur leur victime en faisant du « phishing » ("hameçonnage"), en utilisant des « malwares » (“logiciels hostiles ou espions” ) ou en achetant des fichiers remplis des données personnelles sur le dark web. Puis ils contactent leurs victimes en se faisant passer pour leur banque, prétextant une transaction frauduleuse ou une tentative de fraude.
Sous prétexte de réaliser un test de sécurité ou des opérations d'annulation, le client valide le paiement demandé sur son application ou voit sa carte bancaire enrôlée dans un smartphone qui ne lui appartient pas. Le fraudeur peut alors effectuer des paiements mobiles au moyen de la carte de la victime.
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