“En avant Guingamp »
Pour beaucoup, le slogan évoquera au mieux un célèbre club de football. Mais, pour les mieux informés, la formule est devenue le leitmotiv d’un territoire tout entier, profondément transformé par un plan de revitalisation d’une rare ambition. En quelques années, portée par l’arrivée du TGV, dynamisée par un programme de requalification urbaine de grande ampleur, Guingamp est devenue un Pole d'attractivité des Côtes d’Armor et plus largement de la région Bretagne. Une beauté sereine préservée, un tissu économique solide et une accessibilité optimale permettent aujourd’hui à la ville de voir affluer de nouveaux habitants, de nouveaux commerçants et des investisseurs désireux de s’inscrire dans cette dynamique du bien-vivre. « Gwengamp », camp béni en breton, n’a jamais aussi bien porté son nom.
Hôtel de Montbareil, à deux pas de la place du Centre, coeur battant de GuingampSans rien perdre de son charme, loin du vacarme des grandes métropoles, Guingamp est aujourd’hui à l’épicentre du cercle d’or que dessinent les très prisées Côtes d’Armor. Chaleureux, familial, animé et tout simplement charmant, le coeur de ville présente un savant équilibre entre beauté architecturale, sérénité et effervescence des territoires résolument ambitieux. Après quelques années de reflux, les données démographiques sont reparties nettement à la hausse. Une tendance solide, qui, selon les observateurs, va s’accélérer dans les prochaines années.
Hôtel de Montbareil, décor de plusieurs viesC' est un écrin de verdure et d’histoire né de la volonté de deux femmes, Hélène Moysant, vicomtesse des Arcis et Marie de la Trinité Heurtaut. En 1676, elles obtinrent de haute lutte la construction de ce monastère destiné à recueillir des « filles mal notées et déclarées en justice ». Aux côtés du bâtiment principal, le vaste domaine vit successivement l’édification d’une chapelle et de maisons annexes tout en conservant un grand parc arboré protégé des regards par un imposant mur en pierre de taille. Reconverti en école de jeunes filles en 1822 puis en clinique au tournant du XXe siècle, le domaine deviendra maison de repos en 1976 puis annexe du lycée voisin dans les années 1990. Trois cent cinquante ans et mille vies plus tard, l’Hôtel de Montbareil s’apprête à embrasser le XXIe siècle.
Livraison 4ème trimestre 2025.
A partir de 156 000 euros.
Un mix travaux élevé : 88%, soit 20% d’efficacité fiscale.